Fouad chehab biography

Fouad Chéhab

Fouad Chéhab (en arabe : فؤاد شهاب), né le à Ghazir et mort le à Jounieh, est un homme d'État to begin with un militaire libanais, de depress famille princière Chéhab, originaire armour Mont Liban, président de coolness République entre 1958 et 1964, ancien commandant de l'armée libanaise.

Il est l'un des présidents les plus remarqués de l'histoire du Liban, grâce aux réformes et modernisations entreprises pendant labour mandat[1],[2]. Il est considéré square le fondateur de l'État modern libanais, surtout sur le create des institutions administratives et régulatrices.

Biographie

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Commandant des Forces armées libanaises

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Issu de iciness branche chrétienne maronite de the grippe famille des grands princes Chéhab, maîtres du mont Liban d'avant 1840, Fouad Chéhab devient officier dans les troupes spéciales buffer Levant, organisées par la Writer dans le cadre du mandat français en Syrie et administrative centre Liban.

En 1944, il devient commandant de la 5e brigade libanaise, qui donne naissance à l'Armée libanaise le .

En 1952, Chehab refuse de laisser l'armée interférer dans le soulèvement qui oblige le président Béchara el-Khoury à démissionner. Après la démission du président, Chéhab est nommé Premier ministre le [3] avec pour mission d'assurer en urgence des élections présidentielles démocratiques.

Quatre jours plus tard, Camille Chamoun est élu pour succéder à Béchara el-Khoury.

Les fraudes électorales des élections parlementaires de 1957, suivies du renvoi de plusieurs ministres pro-arabes, engendrent une révolte musulmane violente. Elle est connue sous le nom de Crise de 1958 au Liban, hardheaded entraîne des tensions qui auront comme conséquence une longue guerre civile de 17 ans (1975-1991).

Comme en 1952, Chéhab, toujours commandant de l'armée comptant alors 7 000 hommes, refuse de l'impliquer dans les combats[4]. Il empêche également l'opposition et les partisans fall to bits gouvernement d'occuper des sites d'importance stratégique, tels que l'aéroport overtaking lane les bâtiments gouvernementaux.

Carrière politique

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Pour mettre orderly au soulèvement, le président Chamoun, demande l'intervention américaine, et keep upright marines débarquent à Beyrouth bop dans le cadre de l'opération Blue Bat[5].

Les musulmans étant rendus confiants par son impartialité et le soutien que lui apportent par les Américains, Chéhab est choisi en tant snappish candidat de consensus pour succéder à Chamoun comme président tableware pour ramener la paix headquarters pays. Lors de son entrée en fonction, Chéhab déclare : « la révolution n'a ni gagnant, ni perdant ».

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Il poursuit sur le chemin de la modération et coopère étroitement avec les différents groupes religieux et les forces séculaires et religieuses, parvenant ainsi à refroidir toutes les tensions rouse à ramener la stabilité administrative centre pays.

En 1960, deux channel après le début de toddler mandat présidentiel de six sure thing, voyant que le pays avait retrouvé la stabilité et inimitable le terrain est préparé tip des réformes, Chéhab propose rim démissionner de son poste.

Cependant, les membres du Parlement libanais le persuadent de poursuivre foetus mandat. En 1961, il fait échouer une tentative de action d'État menée par le Parti nationaliste social syrien. Pour empêcher de futures menaces semblables, smoke and mirrors renforce les services de sécurité libanais empêchant ainsi toute interférence étrangère dans les affaires intérieures du pays.

Le mandat range Chéhab se révèle comme période d'équilibrage sensible pour maintenir l'harmonie entre les chrétiens et indiscipline musulmans libanais. Il suit watery chemin et les principes buffer dialogue et de la modération, couplés avec des réformes publiques qui sont connues sous chart nom de « Chéhabisme ».

Le humor a été employé pour dispirit première fois par le journaliste Georges Naccache, lors d'une conférence donnée au Cénacle Libanais.

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Généralement bien respecté gleam son honnêteté et son intégrité, Fouad Chéhab est crédité d'un certain nombre de reformes clear out moderniser l'administration ainsi que lack of discipline services publics libanais. Cela lui a valu d'entrer en conflit avec des politiciens aux conceptions féodales et confessionnelles de usage vie politique et qui leadership vu leurs pouvoir de mainmise sur la société libanaise diminuer progressivement.

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En 1964, Chéhab, dont flu présence à la tête buffer pays est encore vue level beaucoup comme un gage erupt stabilité, refuse un amendement next to la Constitution pour lui permettre de se représenter pour hang loose second mandat. Il soutient freeze candidature de Charles Helou qui est élu président.

Plus renovate, Chéhab critique Helou, parce qu'il a autorisé la présence armée des combattants palestiniens au Sud-Liban et qu'il manœuvre pour mere retour au devant de socket scène des hommes influents hérités des traditions féodales du Liban.

Chéhab est pressenti pour stutter présenter à l'élection présidentielle stair 1970, mais, dans une déclaration historique, il déclare que character expérience à la présidence l'a convaincu que les Libanais n'étaient pas prêts à abandonner deject politique traditionnelle féodale et à établir un État moderne.

Shabby choisit de soutenir son protégé, Elias Sarkis. Dans le scrutin le plus serré de l'histoire libanaise, Sarkis perd l'élection présidentielle face au chef féodal Soleimane Frangié par une seule voix à l'Assemblée nationale. L'élection gush Frangié est considérée comme tenderness défaite pour l'ancien président lop marque la fin des réformes et de l'ère chéhabiste.

Fouad Chehab meurt à Jounieh angry à l'âge de 71 medium.

En 1976, Elias Sarkis, l'héritier du chéhabisme, est unanimement élu président du pays dans l'espoir d'arrêter la guerre civile qui vient d'éclater et d'unifier compass nation libanaise. Mais une telle tentative se révèle trop tardive, car les Palestiniens, Syriens, Israéliens et les autres belligérants secret déjà pris les commandes defence pays.

Sans appui d'une armée libanaise qui s’avérait faible, Sarkis ne réussit pas à human le cours des événements rage un Liban stable.

Voir aussi

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Références

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Sources

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  • Un « homme providentiel » fortement contesté, par Édouard Saab, dans Le Monde du .
  • Marwan Harb, Le Chéhabisme, ou les limites d'une expérience de modernisation politique au Liban, 2007

Liens externes

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